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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 17:15

«L’Union des Démocrates et des Indépendants d’Asnières »

« UDI. Asnières »

 

La Fédération Européenne Démocrate, le Parti Radical, La Gauche Moderne, Le Nouveau Centre et des Indépendants s’associent pour fonder l’Union des Démocrates et des indépendants d’Asnières  (UDI.Asnières).

 

L’UDI.Asnières, c’est le rassemblement  de femmes et d’hommes venus d’horizons politiques  différents qui ont tous en commun :

la volonté d’œuvrer  ensemble pour apporter aux Asniéroises et Asniérois une nouvelle offre politique indépendante, moderne, ouverte et clairement inscrite au centre de la vie politique française,

d’être  au service de l’ensemble des citoyens  Asniérois afin de répondre aux attentes légitimes d’un  véritable vivre-ensemble,

des valeurs permettant la mise en œuvre d’un véritable projet d’avenir pour Asnières. Projet fondé sur la mobilisation de chaque citoyen, car la chose publique est de la responsabilité de tous et chacun.   

 

Le 21 Octobre, Jean-Louis BOORLO dans son discours de la Mutualité  déclarait : « Aujourd’hui, l'UDI est née, c'est une bonne nouvelle pour tous ceux qui veulent une France ouverte sur l'Europe, le monde, pour les libertés et l'humanisme »

 

L’UDI Asnières a pour objectif, de proposer aux Asniérois une alternative politique, une « coalition gagnante » afin d’organiser dans la sérénité le pôle européen, républicain, humaniste, social-libéral et écologiste qui répondra aux aspirations des Asniérois. .

L’UDI Asnières, organisera le 17 janvier 2013 une réunion avec toutes celles et tous ceux qui se retrouvent dans son message et ses propositions.

 

Pour l’UDI.Asnières :

Pierre-Nicolas BUREL, Jean-Loup DUJARDIN, Marie-Aimée PENET, Guillaume VILLEMOT

Nous contacter : contact.udi.asnieres@gmail.com

 

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 15:47

Communiqué de Jean-Louis BORLOO et Franck REYNIER sur les informations parues dans la presse sur la fixation des tarifs réglementés du gaz 

Cette indexation qui date des années 70 n’a plus aucune pertinence à l’heure où le cours du pétrole ne cesse d’augmenter, tandis que celui du gaz est historiquement bas.

Le 22 novembre dernier, nous avons donc défendu une proposition de loi à l’Assemblée nationale visant à déconnecter totalement le prix du gaz de celui du pétrole. Celle-ci a malheureusement été rejetée par le Gouvernement et sa majorité, au motif qu’une réforme de la fixation des tarifs du gaz interviendrait le 10 décembre prochain.

Or, d’après des informations parues dans la presse, le Gouvernement s’apprêterait à modifier la formule de fixation des tarifs réglementés du gaz, pour porter de 26% à 30%, le poids des prix de marché au détriment de celui des contrats d'approvisionnement à long terme indexés sur les cours du pétrole.

Une seule baisse de 4% est dérisoire et n’est pas à la hauteur des enjeux : si cette information se révélait exacte, le Gouvernement porterait un nouveau coup dur au pouvoir d’achat des Français, alors qu’il dispose de tous les leviers pour faire baisser massivement la facture de gaz des consommateurs.

Le groupe UDI le réaffirme avec force : le gaz doit être facturé au prix du gaz !

Le 10 décembre prochain, Delphine BATHO doit annoncer la déconnection TOTALE des prix du gaz sur celui du pétrole. C’est le seul moyen de faire durablement baisser les factures des Français." déclarent Jean-Louis Borloo et Franck Reynier. 


Depuis plusieurs mois, le groupe UDI ne cesse d’interpeler le Gouvernement pour qu’il change la formule tarifaire de fixation des tarifs réglementés du gaz, afin que celle-ci ne prenne plus en compte l’évolution du prix des produits pétroliers.
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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 09:17

Après les annonces de Jean-Marc Ayrault sur l'avenir du site de Florange, Jean-Louis Borloo, Président de l'UDI, demande un grand débat sur l'ensemble de la filière sidérurgique française.

" Je demande un grand débat à raisonnance européenne sur l'ensemble de la filière sidérurgique française, son niveau de production, sa stratégie, son niveau de qualification, ses partenariats ainsi qu'une l'analyse des nouvelles technologies, notamment Ulcos et l'accompagnement des financements français et européens.

Ce grand débat est urgent et nécessite une analyse de manière transparente, partagée et documentée des fondamentaux , des niveaux de production et de consommation d'acier nécessaires en France et en Europe pour garantir les besoins stratégiques sur 5 à 10 ans . La filière sidérurgique est vitale pour notre pays car l'acier fait partie des bases de toute stratégie industrielle.

Je regrette que le Gouvernement n'en prenne pas la mesure et n'ait pas envisagé d'alliances fortes notamment avec des opérateurs français voire espagnols, luxembourgeois et polonais  afin de trouver une solution industrielle globale et de long terme.

L'UDI était prête à accompagner un plan structurel sérieux et global. Or, le Gouvernement a choisi une gestion médiatique par apostrophe et coup de menton.

Un dossier aussi stratégique pour l'avenir de notre industrie et notre pays exige rigueur, sérieux, professionnalisme et transparence. Il est encore temps. Ce débat est urgent." déclare Jean-Louis Borloo.

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 15:02

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 11:28

La décision du Conseil d’Etat d’annuler la limitation de la hausse des tarifs réglementés du gaz à hauteur de 2 % au quatrième trimestre était inévitable.


Trimestre après trimestre, c’est toujours la même histoire qui se reproduit, au détriment des consommateurs : comme la loi l’y autorise, GDF Suez demande de répercuter la hausse de ses coûts d’approvisionnement sur les consommateurs. Or, la hausse de ces coûts est principalement liée à l’indexation du prix du gaz sur celui du pétrole.
Réaction de Jean-Louis BORLOO sur la décision du Conseil d’Etat relative au tarif réglementé du gaz

Comme je l’ai proposé dans ma proposition de loi examinée à l’Assemblée nationale jeudi 22 novembre dernier et rejetée par le Gouvernement et sa majorité, il est aujourd’hui indispensable d’obliger les fournisseurs à renégocier leurs contrats longs terme pour que ceux-ci soient totalement déconnectés du prix des produits pétroliers. Le cours de ces derniers ne cesse d’augmenter tandis que le prix du gaz est historiquement bas sur les marchés. Le consommateur est l’éternelle victime d’un système datant de la moitié du XXème siècle, en décalage total avec la réalité économique !

Le 10 décembre, le Gouvernement doit sortir de l’absurdité de la situation actuelle et mettre un terme aux contentieux incessants qui caractérisent les relations de GDF SUEZ avec l’Etat, son actionnaire principal : Pour cela, il doit annoncer la fin de l’indexation du prix du gaz sur celui du pétrole, comme le groupe UDI le propose depuis plusieurs mois et ce, pour faire enfin baisser la facture de gaz des Français, largement fragilisés par la situation économique actuelle.
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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 19:00


 Ce vendredi 23 novembre, les responsables locaux du Parti radical, de la Force européenne démocrate, du Nouveau Centre et de la Gauche moderne ont décidé d’installer l’UDI à Colombes, à Asnières ainsi que dans l’ensemble de la 2ème circonscription des Hauts-de-Seine.

Le nouveau Bureau de l’UDI se compose donc de :

- Rama YADE devient présidente de l’UDI dans la 2ème circonscription des Hauts-de-Seine, d’Asnières et de Colombes,

- Jean-Loup DUJARDIN, responsable de la Gauche Moderne du 92 et d’Asnières, et Marie-Aimée PENET, responsable de la Force Européenne Démocrate Asnières deviennent co-présidents de l’UDI

- Samuel METIAS, responsable du parti radical Colombes/de l’UDI de la 1ère circonscription du 92 et Pierre-Nicolas BUREL, responsable du Nouveau Centre Asnières deviennent co-secrétaires généraux de l’UDI

- Guillaume VILLEMOT devient secrétaire de l’UDI.

En tant que membres du Bureau, seuls eux sont habilités à représenter l’UDI et à s’exprimer en son nom dans la circonscription et dans chacune des villes qui la composent.

Pour toute personne qui le souhaite, son adhésion doit faire l’objet d’un accord collégial du Bureau de l’UDI. 

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 09:04

 
 

 

Jean-Louis Borloo suit de très près la crise qui secoue l'UMP. Le 21 octobre à la Mutualité, le président du Parti radical, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, prenait la tête de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) avec l'ambition de faire revivre le centre droit. Tout en affirmant clairement son alliance avec l'UMP, il ne cachait pas son objectif de devenir "la principale force politique d'opposition". Il lance aujourd'hui l'offensive dans un entretien au Monde.

Comment interprétez-vous la crise à l'UMP ?

On pourrait n'y voir qu'une querelle d'hommes, après tout compréhensible compte tenu de l'enjeu, mais c'est beaucoup plus profond que cela. Deux lignes s'affrontent à l'UMP, assez irréductibles. Elles reflètent les tensions qui agitent la société française, soumise à une crise économique et sociale de grande ampleur et à la perte de ses repères. Les gens ne savent pas quel est leur avenir, si bien que les peurs montent à une allure vertigineuse.

L'UMP de 2002 avait deux flotteurs. Aujourd'hui, le flotteur droit de l'UMP, qui cherche à bloquer les peurs en exaltant le repli, a le vent en poupe, et l'a emporté sur le flotteur gauche, qui se présentait comme plus social et plus humaniste. Du coup, l'illusion du parti unique, qui tentait de rassembler la droite décomplexée, la droite modérée et le centre droit, ne tient plus. On sent le phénomène monter depuis longtemps, mais aujourd'hui c'est acté. Il y a un problème de cohérence idéologique.

Mettez-vous en cause le discours identitaire de Nicolas Sarkozy ?

Ce genre de procès ne m'intéresse pas. Je suis d'autant plus à l'aise pour parler que j'ai quitté le gouvernement Fillon à ce moment-là, en sentant que la fiction du parti unique ne tenait plus. Depuis, je trace ma route. Face aux tentations du repli, l'UDI incarne une opposition ouverte qui défend l'entreprise, l'Europe, la tolérance l'intégration et la République.

Jean-François Copé vient d'être élu président de l'UMP. Qu'est-ce que cela change pour vous ?

Pour moi, la question des hommes n'est pas essentielle. Ce qui m'importe, c'est le cap et la vision de l'avenir que l'UMP va devoir choisir. La société en mutation impose aux forces politiques une réorganisation en profondeur. La gauche est soumise aux mêmes tensions que la droite, avec un courant guidé par le repli sur soi et la peur de l'avenir. Regardez ce qui se passe au Sénat : le gouvernement ne parvient pas à avoir de majorité. Ce n'est pas parce que Jean-Marc Ayrault manque d'autorité, c'est parce que le Front de gauche ne se reconnaît pas dans le discours ni dans la politique que mène le PS.

Votre pari est-il de dépasser l'UMP en profitant de la crise ?

Dans le coeur des gens, c'est déjà fait. L'UDI a un leader, une doctrine et un objectif. Elle commence à voir arriver des déçus de la gauche, la plus moderne et la plus ouverte, des écologistes responsables et une partie de la droite républicaine.

Comment allez-vous mener votre offensive ?

Nous voulons devenir la première force politique territoriale. Ce n'est pas un voeu pieu. Qui, selon vous, peut espérer reprendre en 2014 des villes comme Paris, Strasbourg, Toulouse à la gauche ? Qui peut espérer reconquérir le Grand Ouest et le Centre ? C'est nous. Demain, nous nous retrouverons devant les maires ; jeudi, nous défendrons cinq propositions de loi ; samedi, nous accueillerons nos nouveaux adhérents.

Etes-vous sûr d'être encore dans une alliance claire avec l'UMP ?

Oui. La coalition de l'UDI et de l'UMP est nécessaire pour bâtir l'avenir. Ce sont deux partis indépendants, différents, en compétition pour le leadership de cette coalition. Il y a deux visions, deux équipes. Celle de Jean-François Copé et la nôtre. L'opposition a désormais deux leaders.

LE MONDE | 20.11.2012

Propos recueillis par Françoise Fressoz

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/11/20/borloo-l-illusion-du-parti-unique-a-droite-ne-tient-plus_1793124_823448.html

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 15:25

« La création de L’UDI apporte aux Français une nouvelle offre politique indépendante, moderne et ouverte clairement inscrite dans l’opposition et au centre droit.

L’UDI a choisi, le 21 octobre à la Mutualité, à l’unanimité son Président, et sa ligne politique.

L’élection interne de l’UMP atteste de la pertinence de cette initiative et au-delà des conflits de personnes prévisibles en pareille circonstance, il y a bien eu l’affrontement de deux lignes politiques différentes.

Pour répondre aux attentes des Français, l’UDI organisera dans la sérénité le pôle européen, républicain, humaniste, social-libéral et écologiste de l’opposition qui ne peut dorénavant rester enfermée dans la fiction unitaire du Parti unique.

L’UDI entend rassembler largement, autour de sa ligne politique claire, toutes celles et tous ceux qui se retrouvent dans son message et ses propositions.

Cette semaine, l’UDI réunit les Maires de sa sensibilité, mercredi 21 novembre, défend cinq propositions de loi, jeudi 22 novembre - sur la reconnaissance du vote blanc, la lutte contre les déserts médicaux, la lutte contre le surendettement, le contrôle du prix du gaz pour les consommateurs et l’aménagement numérique du territoire – et accueillera ses nouveaux adhérents, samedi 24 novembre.

La semaine prochaine, mercredi 28 novembre, l’UDI inaugurera son siège national. » déclarent Maurice Leroy et Philippe Vigier.

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 12:03

Les PDG des 98 plus importantes sociétés françaises pressent le président de la République de baisser le coût du travail. Voici leur appel.

Cinq grands patrons Exclusif JDD

 De gauche à droite : Jean-Pierre Clamadieu, président du comité exécutif de Solvay ; Serge Weinberg, président du conseil d’administration de Sanofi ; Pierre Pringuet, président de l’Afep et DG de Pernod Ricard ; Robert Brunck, président du conseil d’administration de CGGVeritas ; Gilles Michel, PDG d’Imerys. À elles cinq, ces entreprises pèsent en Bourse plus de 128 milliards d’euros. (Eric Dessons / JDD)

"Nous, dirigeants des plus grandes entreprises privées françaises, proposons au gouvernement un pacte pour relancer la croissance et l'emploi. Il traduit notre ambition pour la France et est conçu dans un esprit de dialogue. La France affiche un déficit sans précédent de son commerce extérieur, de ses paiements courants, de ses finances publiques et de ses comptes sociaux. Les marges de nos entreprises sont historiquement basses. Le chômage sape la cohésion sociale et exclut notre jeunesse. La France doit se transformer en profondeur. Il est urgent d'agir maintenant et collectivement. Nous préconisons une réponse globale adossée à des mesures simples et concrètes.

Compétitivité

Baisser le coût du travail et rendre l'État plus économe

1) Avec une dépense publique record de 56% du PIB, nous sommes arrivés au bout de ce qui est supportable. L'État doit réaliser 60 milliards d'euros d'économies (3 points de PIB) au cours des cinq prochaines années. 
2) Pour les entreprises, il faut baisser le coût du travail d'au moins 30 milliards d'euros sur deux ans, en réduisant les cotisations sociales qui pèsent sur les salaires moyens (2 smic et plus). Un transfert financé pour moitié par un relèvement de la TVA de 19,6% à 21% (la moyenne européenne) et l'autre moitié par une baisse des dépenses publiques. 
3) Il faut garantir aux entreprises un environnement fiscal favorable et stable en baissant notamment l'impôt sur les sociétés pour le ramener au niveau de nos voisins européens.

Emploi et formation

Intégrer les jeunes et établir un meilleur dialogue social en amont

1) À côté des contrats de génération que nous soutenons, nous voulons promouvoir une "plate-forme pour l'emploi des jeunes". Elle favorisera les emplois d'insertion, des actions d'embauche inter-entreprises, la mise en réseau de nos centres de formation et le développement de l'apprentissage. 
2) Il est vital d'instaurer un dialogue social ouvert très en amont pour permettre aux entreprises de s'adapter aux aléas de la conjoncture. C'est l'objet de la négociation sur la sécurisation de l'emploi que nous soutenons.

Innovation

Créer un véritable écosystème

1) Pour donner à notre pays toutes ses chances, il faut préserver le crédit d'impôt recherche. 
2) Garantir une offre de capitaux large et dense pour financer les projets à travers des leviers comme la Banque publique d'investissement (BPI), les investisseurs privés et les ressources du fonds d'amorçage du commissariat général à l'investissement. 
3) Continuer à nous rapprocher du monde de la recherche publique dans le cadre des pôles de compétitivité. 
4) Concentrer les moyens sur une quinzaine de secteurs d'avenir comme la santé, les sciences du vivant ou les technologies de l'efficacité énergétique.

Environnement-Énergie

Lutter contre le changement climatique sans abîmer notre compétitivité

1) Il faut se donner les moyens d'explorer et d'exploiter nos ressources nationales comme les gaz de schiste. 
2) Rester pragmatique dans la mise en œuvre de la transition énergétique, qu'il s'agisse de réduire nos émissions de CO2 ou notre exposition à la production d'électricité d'origine nucléaire. 
3) Développer des réponses technologiques à tous ces défis où nos entreprises ont acquis un vrai savoir-faire.

Gouvernance et image des entreprises

Renforcer notre code de gouvernance

Notre code de gouvernance Afep-Medef est déjà l'un des plus stricts au monde mais nous sommes prêts à le modifier en : 
 1) soumettant les rémunérations des dirigeants à un vote consultatif des actionnaires lors de l'assemblée générale annuelle ; 
 2) créant un haut comité du gouvernement d'entreprise habilité à intervenir auprès des conseils d'administration ; 
 3) limitant à deux le nombre de mandats d'administrateurs pour les dirigeants mandataires sociaux. 

Les conditions du succès sont simples : agir sur tous les fronts, s'inscrire dans le cadre de l'Europe et organiser les conditions d'un dialogue entre toutes parties prenantes, pouvoirs publics, partenaires sociaux et entreprises. Nous avons besoin de tous les entrepreneurs, créateurs, managers et investisseurs. Cessons d'opposer PME et grandes entreprises. Nous, dirigeants des plus grandes entreprises françaises, nous nous sentons profondément attachés à notre pays."

Appel publié sur le JDD du dimanche 28 octobre...

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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 18:15

Pour son premier rassemblement officiel, l'UDI a attiré plus de 3 000 personnes.

Jean-Louis Borloo l'avait promis depuis de nombreuses semaines. En coulisses, les amis de l'ex-ministre y croyaient dur comme fer. "Vous verrez, l'UDI va attirer des milliers de personnes lors du premier rassemblement et cela va grimper par la suite. Borloo a une grande capacité de séduction" expliquait un de ses proches la semaine passée. Et force est de reconnaître que l'ancien maire de Valenciennes ne s'est pas trompé. Il a su rassembler. Ainsi, Simone Veil, Hervé Morin, François Sauvadet, Maurice Leroy, Michel Mercier, Jean-Marie Bockel ou encore Chantal Jouanno trônaient au premier rang de la Mutualité remplie par plus de 3 000 personnes.Valéry Giscard d'Estaing a également adoubé l'UDI. Un bon point pour Jean-Louis Borloo.

Et l'ex-ministre de l'Ecologie n'a pas caché son ambition de faire de l'Union des Démocrates et Indépendants (UDI) "l'UDF du XXIe siècle" et "le premier parti de France". "L'UDI est née, c'est une bonne nouvelle pour tous ceux qui veulent une France ouverte sur l'Europe, le monde, pour les libertés et l'humanisme", a-t-il dit dans son discours de clôture. L'objectif est clair : avoir le leadership au centre face au MoDem mais aussi de prendre le pas sur l'UMP. Faire de ce nouveau parti, une "coalition gagnante".

Des ambitions qui ont suscité une certaine ironie chez le partenaire UMP. Son patron Jean-François Copé a mis en garde contre la tentation de l'UDI de vouloir "se faire plus grosse que le boeuf", comme la grenouille de la fable de La Fontaine. Dans la salle et sur scène, les anciens ministres voisinaient avec des parlementaires, eurodéputés et élus locaux des sept mouvements co-fondateurs de l'UDI, dont le Parti radical et le Nouveau centre. Le MoDem était représenté par le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe. Le commissaire européen Michel Barnier et l'ancien ministre de l'Economie Thierry Breton étaient aussi venus.

Evoquant les perspectives électorales de l'UDI, Jean-Louis Borloo a expliqué que son parti devait se préparer à gouverner car "nul ne connaît le jour et l'heure". Il a quelques jours, il avait même envisagé une possible dissolution de l'Assemblée par un pouvoir socialiste à bout de souffle avant 2017 suivie d'une victoire de l'UDI lors de législatives anticipées. De la politique fiction mais dimanche à la Mutualité, on voulait croire à ce "rêve" prémonitoire.

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