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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 11:18

Contribution énergie climat: pour une réforme juste


Par Simon Pierre TREZEGUET...


Le Président de la République a raison de dire qu’il ne sert à rien de revendiquer une croissance verte si on a pas le courage politique d’aller jusqu’au bout du raisonnement, et donc de mettre en place une fiscalité qui décourage la pollution, et encourage les bonnes pratiques.  Nous devons changer nos habitudes de consommation, en particulier énergétiques.  Les Français l’ont largement accepté, à un point tel que 40% d’entre eux sont prêts à accepter la Contribution Energie Climat dans sa forme actuelle !

 

La Contribution Energie Climat n’est pas une taxe nous dit-on, mais un mécanisme incitatif pour faire évoluer les comportements et nos modes de consommation.  Soit.  La prime à la casse, couplée au bonus/malus écologique, est un mécanisme incitatif très efficace qui retire de la circulation de vieux véhicules polluants pour de nouveaux véhicules beaucoup moins polluants.  En plus, cela permet de soutenir notre industrie automobile !

 

Mais si nous augmentons le prix de l’essence demain, quel nouveau comportement allons-nous favoriser ? Les millions de Français qui doivent obligatoirement prendre leur voiture pour aller au travail, emmener les enfants à l’école, les emmener à leurs activités du mercredi, pour aller faire leurs courses, pour aller visiter leur famille, vont-ils pouvoir librement opter pour un autre mode de transport (transport en commun, voiture électrique, vélo) ?  Non car les infrastructures n’existent pas, les modèles de voitures n’existent pas.  Aujourd’hui, une voiture électrique coûte au moins 25 000 euros à l’achat.  Il n’existe pas de citadines électriques abordables (autour de 15 000 euros).  Ces modèles n’arriveront pas sur le marché avant 2011.

 

Aujourd’hui, il ne serait pas juste de mettre en œuvre la Contribution Energie Climat sur l’essence et le diesel, car cette mesure n’aurait quasiment aucun rôle incitatif à l’adoption de nouveaux comportements ou de nouvelles technologies.

 

Aussi, je préconise que la mise en place de la Contribution Energie Climat (avec une tonne de CO2 à 32 euros) soit synchronisée avec l’arrivée sur le marché de véhicules électriques urbains (si possible fabriqués en France). C'est-à-dire qu’il faut annoncer aujourd’hui qu’elle rentrera en vigueur en 2012.  Cela donnera de la visibilité aux industriels pour leur permettre les investissements nécessaires.  Cela donnera de la visibilité aux particuliers pour qu’ils commencent à adapter aujourd’hui leurs décisions afin d’être prêt en 2012 (choix du logement, du véhicule, des écoles, etc.).

En attendant, la prime à la casse et le bonus/malus écologique doivent être prolongés, en étant plus sélectifs qu’aujourd’hui.

 

En parallèle, on peut dès 2010 mettre en place une Contribution Energie Climat sur le chauffage au fioul.  Les technologies existent pour remplacer ce mode de chauffage par des technologies propres (pompe à chaleur en relève de chaudière, chauffe-eau solaire, etc.).  On peut donc surtaxer significativement le fioul (32 euros voire plus) et utiliser cet argent pour financer les travaux.  On peut aussi dès maintenant mettre en place une taxe sur les emballages vendus en France (y compris sur les produits importés).

 

Le Grenelle de l’Environnement a validé de nombreuses mesures qui créeront les conditions du choix face à la Contribution Energie Climat.  Il faut donc mettre en œuvre ces mesures maintenant et prévoir une montée en puissance progressive de la Contribution Energie Climat.

 

Une réforme juste pour une fiscalité écologique, c’est d’abord inciter les citoyens à faire les bons choix.  En l’absence de choix, il ne peut y avoir de justice.

 

Simon-Pierre TREZEGUET
Membre du Conseil National de La Gauche Moderne

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 05:38

Lors de la séance constitutive de la commission DEVE qui s'est tenue à Bruxelles, Michèle STRIFFLER a été élue, à l'unanimité, première Vice-présidente de cette commission qui sera présidée par la Française Eva Joly, membre du Groupe des Verts/Alliance libre européenne.

Cette commission est compétente pour les questions ayant trait à la promotion, à la mise en œuvre et au contrôle de la politique du développement et de la coopération de l'Union européenne y compris le dialogue politique avec les pays en voie de développement, tant au niveau bilatéral que dans le cadre des organisations et instances interparlementaires internationales pertinentes; l'aide aux pays en voie de développement et les accords de coopération avec ceux-ci; et la promotion des valeurs démocratiques, de la bonne gouvernance et des droits de l'homme dans les pays en voie de développement. Elle est également compétente pour les questions relevant de l'accord de partenariat ACP-UE et des relations avec les instances compétentes.

Les sujets les plus brûlants des mois à venir seront les conséquences de la crise économique et financière sur les pays en développement et la coopération au développement; ainsi que le changement climatique et les pays en développement dans le contexte de la conférence de l'ONU sur le changement climatique à Copenhague. Michèle STRIFFLER s'investira activement dans le domaine de l'Aide Humanitaire de l'Union européenne. Les effets des catastrophes naturelles et des conflits armés justifient largement le besoin de plus d'aide Humanitaire, et de meilleure qualité.

Michèle STRIFFLER, membre de la Gauche moderne, est également  6ème adjointe au Maire de Mulhouse, Jean-Marie BOCKEL, en charge de l'attractivité commerciale et artisanale depuis mars 2008. 


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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 05:43

Interview de Jean-Marie Bockel dans le jdd.fr...01 09 09


Ce week-end à La Rochelle, le PS a affiché une unité retrouvée. Vous y croyez?
Disons que j'ai du mal à y croire. Martine Aubry a certes pratiqué un exercice de synthèse - que j'ai bien connu quand j'étais au PS - mais j'ai du mal à penser qu'il puisse marquer une unité retrouvée. Dans tout ce qui a été dit cet été par les uns et les autres, on a en effet pu observer des visions stratégiques très différentes. Et connaissant bien les socialistes, je ne crois pas une seconde que tout ceci ait pu disparaître en deux jours à La Rochelle.

 

On a tout de même senti que Martine Aubry avait fixé un cap précis, tant au niveau calendrier que du projet…
Sur le calendrier, je ne le conteste pas, bien que je demande à voir sur quoi cela va déboucher dans les faits. Sur le projet, permettez-moi de vous dire que cela serait une grande première… Non pas que le PS sorte un document qui s'appelle projet, mais qu'il arrive à proposer aux Français une alternative crédible à la politique de réformes que nous menons. Je serais même extrêmement étonné que ce soit le cas.

 

La "régression" du coup de barre à gauche

Tout de même, valider le principe de primaires ouvertes ou organiser la consultation des militants au sujet de nouvelles règles au PS, c'est bien un signe d'ouverture du parti?
Je le dis sans esprit polémique, mais à La Rochelle, on a quand-même vu Mme Duflot (secrétaire nationale des Verts, ndlr) venir faire la leçon aux socialistes (lire:
 Duflot en toute franchise). Quant à Martine Aubry, si son discours de vendredi donnait certains gages d'ouverture à ses partenaires, celui de dimanche a absolument tout refermé, tout reverrouillé. On a assisté au retour de la rhétorique classique du Parti socialiste, quand elle a par exemple expliqué que le projet socialiste devait précéder la question des alliances.

 

En somme, vous semblez ne pas beaucoup croire à une possible alliance entre le PS et Europe Ecologie…
Je connais trop bien les différences à la fois idéologiques mais également de projet qui existent entre socialistes et
 écologistes. Regardezla cacophonie actuelle sur la taxe carbone par exemple. Je suis donc très sceptique sur leur capacité à trouver un terrain d'entente sur les bases d'un projet de gouvernement de la France. Le rapprochement de ce week-end n'était qu'un effet d'optique. Un bel effet certes, mais quand on creuse un peu, on se rend vite compte que cela ne marchera jamais. J'ai trop d'expérience de tout cela pour y croire, j'ai traversé trop de déceptions au sein du PS pour être séduit par ce que je considère être une illusion.

 

Dans son discours de clôture, Martine Aubry a mis la barre à gauche (lire: Aubry redonne espoir au PS). Certaines de ses propositions vous ont-elles séduit?
Pas du tout. Là encore, je connais trop bien cette tactique du "coup de barre à gauche" qui vise seulement à rassembler, même pas les adhérents socialistes, mais seulement les militants qui s'étaient déplacés à La Rochelle. Sur le moment, ça marche à tous les coups, mais la potion est amère et les lendemains sont toujours des lendemains de gueule de bois. Alors que l'on sait que le PS est divisé, cette tactique procède même de la régression, au sens psychologique du terme.

 

"Personne n'a à se renier"

Que voulez-vous dire par là?
Je veux dire que derrière tout cela, où se trouve le projet? Il faut être clair, et le passé l'a bien prouvé: soit ce coup de barre à gauche ne permet pas de gagner, soit il ne permet pas d'agir, comme on l'a vu avec les contradictions de l'époque Jospin, où l'on a fait des bêtises - comme les 35 heures - dans le seul et unique but d'envoyer un signe à son électorat. Dans les deux cas, cela conduit à une impasse. Malgré une légère euphorie sur le moment, cela ne se termine jamais bien…

 

Vous êtes sévère avec la gauche et le PS, mais de votre côté, au sein de la majorité, vous devez désormais composer avec le MPF de Philippe de Villiers. Regrettez-vous toujours cette ouverture à droite?
Je n'ai jamais eu d'opposition de principe à cette ouverture. Lorsque je me suis exprimé sur ce sujet à la mi-août, je n'ai pas fait de sectarisme, mais j'ai seulement dit que la Gauche moderne ne pouvait pas simplement se retrouver avec le MPF sur la seule idée que nous avions un adversaire commun. Or, en fin de semaine dernière, j'ai enfin pu avoir une conversation téléphonique avec Philippe de Villiers et j'ai pu être rassuré sur le fait que nous avions des éléments de projet à partager. Ceux-ci restent encore à discuter et à approfondir, mais, autant on peut garder des points de désaccord – personne n'a à se renier -, autant, dans la perspective des élections régionales et d'autres scrutins, nous pensons pouvoir les dépasser pour construire la plate-forme commune de l'ensemble de la majorité. Je n'oublie d'ailleurs pas que c'est de Villiers qui a fait la démarche de nous rejoindre, et pas le contraire. Il n'y a donc pas lieu d'être inquiet sur l'axe de la majorité. Sur ce point, j'ai acquis la certitude que le terrain avait été bien déminé.




 
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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 18:52
La grande fête est finie, mais elle restera un moment fort pour tous ceux qui y ont participée.

L'organisation fut à la hauteur de la qualité de l’événement et chacun a pu s'en rendre compte tout au long de ces trois jours.

Certes, il y a eu le "point noir" OASIS et la décision du groupe de ne pas honorer leur engagement devant les milliers de fans qui n’étaient venus rien que pour eux (certains d'ailleurs de très loin !) et pour rien. Au moment où d'aucuns s'interrogent sur des lois dans le style Hadopi, on aimerait bien que certains artistes aient le même respect pour leur public que celui que l'on demande au public vis-à-vis des artistes. Remarquons la conduite exemplaire des auditeurs et des services de sécurité qui a permis d'éviter des "mouvements divers" lors de l'annonce de l'annulation du concert Oasis.

On retiendra surtout de ce RockenSeine 2009, la volonté de proposer de nouveaux talents, d'en confirmer d'autres et d'oublier un peu les grandes stars à "caprices de stars" !

Bravo encore à Vampyre Week End, Keane et aussi Amy MacDonald, sans oublier les "sauveurs" Madness !

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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 09:47

Insertion professionnelle des jeunes : une rentrée difficile


628 200 jeunes de moins de 25 ans inscrits au chômage (1) ; des milliers de jeunes qui ne peuvent plus financer une école privée et autant qui délaissent le formations universitaires. "Face à une demande exceptionnelle de formation en alternance pour cette rentrée 2009 de la part des jeunes et des familles et ce dans une conjoncture difficile, au moins 100 000 jeunes ne trouveront pas de formation en alternance à la rentrée" prévient Jérôme de Rocquigny. Si le vice-président du Cerf en charge de la formation professionnelle salue les efforts du gouvernement pour augmenter le nombre des formations en alternance, il constate que, sur le terrain, trop d'obstacles nuisent encore à l'insertion professionnelle des jeunes. En cause, la mise en oeuvre de l'ANI (accord national interprofessionnel) voulu par les partenaires sociaux en 2004 : les syndicats ont mis à mal les contrats de qualification pour le remplacer par le contrat de professionnalisation mais ont choisi de privilégier des formations en apprentissage qui restent très utiles pour les métiers manuel mais qui pour les formations tertiaires coûtent trois fois plus cher que la même formation en contrat de professionnalisation. 

Jérôme de Rocquigny considère que le plan du gouvernement ne peut pleinement réussir en raison d'un double frein : le premier est financier. Les OPCA refusent encore de financer des formations transversales de sorte que des jeunes qui ont pourtant trouvé un employeur et une formation, restent au chômage. Le Cerf demande une nouvelle fois que le gouvernement force les OPCA à prendre en charge toutes les formations en alternance diplômantes comme elles s'y étaient engagées lors de la signature de l'ANI en 2004. De plus, le gouvernement doit avoir conscience que des centaines de centres de formation risquent aujourd'hui de fermer : en effet les prises en charges des coûts de formation ont très largement baissé ces dernières années. "Si ces TPE/PME disparaissent, les jeunes n'auront tout simplement plus de centres de formation pour les accueillir" explique Jérôme de Rocquigny. De plus, si cette offre de formation assurée aujourd'hui efficacement par le privé disparaît, l'Etat n'aura alors d'autre choix que de recruter de nouveaux enseignants et ouvrir de nouvelles classes dans le public à l'heure où le gouvernement a décidé une baisse des dépenses et une réductions d'effectifs !

Le second frein au succès aux mesures pour l'emploi des jeunes concerne les incitations aux entreprises : dans un contexte conjoncturel difficile, l'embauche des jeunes en contrat de professionnalisation coûte aujourd'hui trop cher - entre 50% et 100% d'un Smic conventionnel, soit jusqu'à 1700 euros brut selon certains accords de branche, l'âge et le cursus du jeune. Le Cerf préconise que l'on revienne a un mode de calcul plus simple et surtout plus juste : 55% du Smic pour les moins de 21 ans ; 65% pour les plus de 21 ans. Jérôme de Rocquigny juge également les exonérations de charge insuffisantes et préconise une exonération totale des charges patronales. Enfin, le vice-président du Cerf en charge de la formation professionnelle constate que le montage administratif des dossiers, leur gestion et leur suivi sont beaucoup trop complexes et ce, que ce soit pour les contrats d'apprentissage ou de professionnalisation. Cette contrainte supplémentaire finit de décourager les employeurs de TPE/PME d'embaucher un jeune.

Déjà au mois de juillet, le Cerf tirait la sonnette d'alarme et mettait en garde le gouvernement contre tous les conseilleurs qui se soucient davantage de leurs avantages acquis que de l'insertion professionnelle des jeunes (2). Le gouvernement doit comprendre qu'il ne pourra réussir son pari de ne laisser aucun jeune au bord de la route sans s'attaquer à ceux qui gèrent la formation professionnelle et ne veulent rien changer au système.

(1) Chiffres pôle emploi de juillet 2009
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/PI-Mensuelle-2.pdf 
(2) Communiqué du 17 juillet 2009 - Insertion professionnelle des jeunes : le Cerf tire le signal d'alarme !
http://www.lescreateurs.org/090717-insertion-des-jeunes.pdf

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28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 16:21


C'est la septième édition de RockenSeine et dans le cadre d'une rentrée pour beaucoup un peu angoissante, le Conseil général des Hauts-de-Seine, a su mettre un peu (ou beaucoup) de beaume aux coeurs !

Le succès est d'ores et déjà au rendez-vous, puisqu'à la mi-journée, on annonçait plus de 80 000 auditeurs !

Nous sommes très heureux que cet événement se déroule dans les Hauts-de-Seine en démontrant ainsi qu'une des manifestations musicales parmi les plus heureuses de cette année, a eu pour organisateur notre collectivité territoriale !

Bravo à toute l'équipe du CG92 et bien sûr à son Président Patrick Devedjian qui a ainsi prouvé que tous les hommes politiques n'étaient pas à des milliers d'années lumière des citoyens et des jeunes.

Bon concert à toutes et à tous !!!
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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 11:32

Au cours des dernières semaines, nous avons peu assisté à différentes prises de position portant sur les élections Régionales. Et si, il est vrai que  les périodes électorales sont des temps forts dans la vie politique  de notre pays, il est tout aussi excacte que  pour un parti comme le nôtre, elles sont l’occasion de fédérer les énergies.

Indépendamment de toute question de liste , les élections  se "jouent" aussi sur le terrain des idées, des propositions et du débat. C’est, pourquoi, lors d'une réunion de travail présidé par Jean-Marie BOCKEL et réunissant l'ensemble des fédérations de la Région Ile de France, il  a été décidé d'élaborer un projet présentant les différentes propositions, positions  de La Gauche Moderne  pour notre Région .

C'est dans cet esprit, que notre Fédération vous propose d'apporter votre pierre à la construction de ce projet en participant aux différents groupes de travail que nous mettons en place: 

1 - développement économique et accès à l'emploi ;
2 - éducation, jeunesse, sport et culture ;
3 – égalité des chances ;
4 - transports et urbanisme ;
5 – environnement et développement durable
6 - habitat et cadre de vie.



Si vous souhaitez participer à notre démarche en enrichissant notre projet par vos réflexions et propositions vous pouvez transmettre vos contributions à : jeanloup.dujardin@club-internet.fr 

 
Pour la Fédération
Jean-Loup DUJARDIN
Animateur de la Fédération 

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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 11:50

Chose curieuse, mais qui mérite d'être encore une fois soulignée : si certains ont la chance d'être encore en vacances, c'est tant mieux pour eux. La jalousie est un défaut bien médiocre comme le rappelaient les frères Grimm !

Mais, du moins ne punissons pas en plus ceux qui, justement, ne le sont pas, en vacances !

Or, les horaires d'été des transports en commun, et surtout des bus, sur notre territoire sont, et c'est un euphémisme, pour le moins pénalisant pour un grand nombre ! Sur certaines lignes, on peut compter 2 bus par heure en pleine journée...et ne mentionnons pas la soirée !

Est-ce bien responsable, à l'heure où il est urgent de développer l'usage des transports en commun ?

Il est vrai que tous les responsables ne parlent plus que des "magnifiques" tramways : les T1, T2, T3 et T4... Mais deux remarques :

1) Au moment d'une grande crise, au moment où un consensus se fait, enfin, sur le développement durable, ne serait-il pas d'une certaine cohérence d'améliorer d'abord ce dont on dispose. L’aménagement d'un carrefour, d'une rue n'est pas très coûteux et peut permettre une meilleure fluidité des transports en commun sur la banlieue et notamment les Hauts-de-Seine ;

2) Pourquoi avoir pris comme noms  T1, T2, T3 et T4, alors que beaucoup se souviennent que ces sigles représentaient les codes nazis pour classer les divers degrés de la "solution finale". Le code T4 étant le stade ultime, celui où plus un juif ne devait être vivant sur terre...

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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 11:43
Dans les moments difficiles, comme ceux que la France doit traverser actuellement du fait de la grande crise économique mondiale, il n'est pas sans signification de se souvenir d'une autre grande épreuve dont notre pays a su triompher.

Le 25 août 1944, après des années de souffrances et d'angoisse, Paris se libére du joug de l'oppresseur allemand et, comme le rappelait le général de Gaulle, lors d'un discours historique, Paris se libére grâce au peuple français.

C'est un moment fort de notre histoire, un moment terrible qui doit nous redonner du courage face aux difficultés qui ont surgies devant nous, comme le souligne le Chef de l'Etat dans son intervention.


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24 août 2009 1 24 /08 /août /2009 10:42
                                                      Rock en Seine 2009


Le Conseil général des Hauts-de-Seine, sous l'impulsion de son Président Patrick Devedjian, a choisi cette année de placer la rentrée sous l'égide d'une grande fête musicale.

Rock en Seine, dont la réputation n'est plus à faire, passe à la vitesse supérieure en s'ouvrant à des artistes connus au niveau mondial. La venue d'un groupe comme OASIS est à lui seul un événement dans l'univers artistique contemporain.

Saluons donc cette initiative, qui prouve une fois de plus le choix fait par Patrick Devedjian pour la culture et la qualité de la culture.

Nous ne doutons pas que cette série de concerts permettra à tous les jeunes amateurs de musique d'aborder la fameuse rentrée avec plus de courage et de bonne humeur !


Pour tout connaître du programme, cliquez ci-dessous et bon concert !

Rock en Seine

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